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5 17,90 €. ajouter au panier. Description. Un outil très pratique permettant de réaliser un noeud de raccord les yeux fermés. Un ou deux noeuds vous suffiront à vous faire la main, pour le plaisir des débutants. Pour la réalisation d’un raccord tresse / Ilest convaincu que notre corps nous parle et qu’il faut apprendre à le lire. C’est le but de son approche « somato-émotionnelle » : de détecter le lien entre le corps et les émotions qui l’animent, souvent inconsciemment, pour relever les traces des tensions ou des chocs qui parasitent le vécu quotidien. Sa technique lui permet d Outilspour un nœud de pêche. nœuds de pêche sont nombreux, et la plupart peuvent être liés sans l'aide d'un outil de vente liée. Cependant, il ya quelques outils pour un nœud de pêche, certains de faire un noeud spécifique, et un autre qui est un tout-en-un outil conçu pour attacher plusieurs noeuds différents. Lacréation de Kayaks Galaxy était alors le point de départ d'une grande aventure, que nous espérons partager avec vous. La marque Galaxy Kayaks est née en 2007 et s'est répandue rapidement à travers l'Europe pour devenir le choix numéro un en kayaks de pêche de qualité à prix abordables. Depuis, nous travaillons sans relâche pour Utilisezune sonde de qualité pour la pêche au thon. Un traceur de cartes pour vous repérer pendant la pêche. Le bon bateau pour la pêche au thon. Le timonier. Les semi-rigides. Les coques open. La vedette-open. Choisissez la canne à pêche adaptée au thon. Site De Rencontre Pour Proprietaire De Chien. J'en pince pour le noeud Baril Ce foutu noeud Baril si simple à réaliser selon cette vidéo, plein de pêcheurs à la mouche de mes amis en ont "plein la bouche" et si je n'étais pas extrèmement bien élevé, je dirais que moi j'en ai ......."plein le cul"!!Jamais en effet je ne suis arrivé à le réaliser facilement, même à mon bureau, et je l'avais abandonné il y a plusieurs décennies, alors que j'étais encore jeune...enfin même déjà plus tellement , et que Bresson m'avait converti au "Noeud de chirurgien" pour rabouter les brins de mon bas de ligne .....Cependant malgré mes difficultés, malgré le fait que ce Baril semble indiqué surtout pour les plus gros diamètres, j'ai décidé sur le tard d'essayer de conjurer le mauvais sort qui m'avait rendu autrefois incapable de l'éxécuter correctement et j'ai donc puisé dans la littérature les "combines" qui me le permettraient................... .......bien que la commercialisation il y a des années par Orvis d'un "appareil" destiné à en faciliter l'exécution sous entende quand même que certains autres s'étaient avisés également d'une réelle difficulté...!L'appareil ayant disparu j'ai donc décidé de repartir à zéro et de le fabriquer ....en le "personnalisant" car je ne suis vraiment pas le premier à avoir tenté l'expérience, et pt'être pas non plus le meilleur...mais bof, il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre....alors..!Une planchette de contreplaqué, deux pinces à linge, un bout de soie réformée, quelques centimètres carrés de foam caoutchouc souple, un tube de superglue..et en avant 1/4 trous de part et d'autre des deux pinces à linge en parallèle espacées de 7 a 8 cm et dont les mors dépasseront les bords de la planhette permettront de les "ficeler" solidement avec de la soie par une boucle à l'arrière et une autre qui passe par le trou du ressort..les noeuds sous la planchette seront renforcés par un point de superglue qui complètera la fixation planche-pince et permettra également de fixer sur les mors une petite bandelette de coutchouc moussefoam pour empêcher le fil de glisser L'appareil est prêt ...à recevoir selon l'illustration ci dessous les deux brins à relier par ce foutu noeud Baril...qui est gourmand en fil car il faut laisser pas mal de longueur aux extrémités libres disponibles pour les manoeuvres On insère entre les deux brins bien coincés et tendus entre les mors deux petits tubes de quelques cm un manche de coton tige fait parfaitement l'affaire indispensables pour passer en sens inverse les deux extrémités des fils à rabouter ici l'extrémité du vert de haut en bas, celle du jaune de bas en haut Certains teigneux ont cru bon de me faire remarquer la complication inutile de cette "mouture" à 2 tubes, un seul pouvant suffire pour passer les deux extrémités........mais qui passent alors obligatoirement dans le même sens, vous comprenez pourquoi j'espère ....et ce manque d'académisme me dérange..même si son respect n'apporte strictement rien à la qualité du noeud mais comme dirait l'autre.. "moi, c'est moralement que j'ai mes élégances!!.".. et s'il n'en était ainsi, je pourrais me contenternon pas de deux tubes, ni même d'un seul.. .mais d'un simple gros clou bien suffisant pour torsader les deux fils l'un autour de l'autre avant d'en passer,chacune des extrémités libres en sens inverse dans la boucle à son contact car il persiste toujours un "angle" entre clou et la boucle laissant un passage suffisant!! une fois que l'on aura torsadé sur 5 tours les deux fils l'un autour de l'autre On retire alors les deux tubes ou le clou et restent en place les deux extrémités engagées dans la boucle entre les deux brins torsadés Il ne reste plus qu'à libérer l'ensemble des pinces à lingePour serrer le noeudil ne restera plus qu'à couper l'excédent des extrémités libres Même avec ce bricolage, je trouve toujours ce noeud mal commode à exécuter mais il permettra quand même mieux qu'au bord de l'eau, tranquillement installé à son bureau, d'occuper les longues soirées d'hiver en confectionnant les bas de ligne pour la saison future.....Bon courage !!PS Comme s'il fallait une preuve supplémentaire de la difficulté à réaliser ce noeud pour certains maladroits de mon acabit...qui m'ont l'air nombreux en l'occurence , d'autres se sont ingéniés à fabriquer des instruments bien plus sophistiqués que les pinces à linge....voyez donc ça!! Traîner et sonder Une fois que votre sondeur Deeper est fixé à votre embarcation, commencez à vous déplacer sur l'eau pour sonder ou créer des cartes topographiques sous-marines. Utilisez le mode bateau dans l’application Deeper Paramètres > Mode du sondeur > Mode bateau pour un affichage avec écran divisé de vos relevés et de votre cartographie. Nous recommandons une vitesse limite du bateau de jusqu’à 5 km / h nœuds.ⓘ Lorsque vous traînez votre sondeur Deeper, gardez votre smartphone / tablette dans une position où votre appareil puisse facilement capter le signal de votre sondeur. Si votre smartphone / tablette est au sol ou dans votre poche, la connexion pourrait être instable. Tout l'assortimentBureauLivresGuideNœuds de pêche Montages de bas de EiberLivré entre mar. et mer. que 2 articles prêts à être envoyés depuis un entrepôt externeArticle 7073435Le chef décide de votre succès à la capture. Selon l'eau et le type de poisson, la pose, le plomb, l'émerillon et l'appât doivent être coordonnés avec précision pour obtenir un bon résultat de pêche...Spécifications principalesGenreGuide pratiqueAnnée2016Droit de retour de 30 jours – non ouvertCe produit ne peut être retourné que s'il n'a pas été transparence est importante à nos yeux. Elle s'applique également à nos prix. Ce graphique montre l'évolution du prix au fil du temps. En savoir plus Pratiquée depuis longtemps par certains, la pêche à l’aimant n’a jamais autant été à la mode. À mi chemin entre la détection de métaux et la pêche, cette discipline à l’avantage d’être accessible à tous sa simplicité, son faible coût et les surprises qu’elle offre sont les ingrédients qui font aujourd’hui son succès. On vous dit tout ce qu’il faut savoir sur ce loisir très tendance afin de vous lancer et vous transformer en parfait pêcheur à l’aimant. Ce qu’il y a de bien avec la détection, c’est qu’il est très difficile de se lasser ! On ne sait jamais sur quoi l’on va tomber et on a toujours des nouveaux terrains à prospecter. Pour autant, vous avez peut-être envie de varier les plaisirs avec de nouvelles façon de jouer à la détection ? Ça tombe bien, on a une bonne nouvelle pour vous la pêche à l’aimant fait un carton et vous allez adorer cela. Posez le détecteur quelques minutes et lisez plutôt. PÊCHER DES TROUVAILLES Pêche à l’aimant, pêche à l’aimant … mais de quoi on parle ? C’est tout simplement une technique de prospection qui remonte à des décennies et qui consiste à aimanter des trouvailles au fond de l’eau plutôt qu’à les détecter, le tout à l’aide d’une corde et un aimant. Une bonne façon de ne pas se mouiller et de pratiquer à sa façon l’aquatique dans les rivières, lacs et autres zone humides ex puits, lavoirs…. Les amateurs de pêche à l’aimant sont parfois des prospecteurs, parfois des pêcheurs ou tout simplement des gens curieux de savoir ce qui se cache au fond de l’eau et qui aiment les surprises. Côté trouvaille, cela va de soit, vous ne trouverez que du ferreux ! Mais vous n’êtes pas au bout de vos surprises car les amateurs de pêche à l’aimant remontent aussi bien des objets du quotidien, comme des clés, des téléphones, des monnaies … … que de vieilles armes ou des munitions datant souvent des première et seconde guerres mondiales et surtout tout ce dont l’homme a tendances à se débarrasser dans l’eau… cela peut relever d’un petit objet personnel à d’autres plus volumineux ! Et parfois des objets farfelus, come un drône ou des portes clefs Tour Eiffel … au pied de la Tour Eiffel ! L’ÉQUIPEMENT UN AIMANT, UNE CORDE ET DES GANTS Adeptes également de la pêche à l’aimant, on a souhaité partager avec vous quelques conseils pour vous aider à pratiquer la pêche à l’aimant près de chez vous ! Pour commencer, l’équipement il vous faudra bien sûr un aimant, une bonne corde et idéalement une paire de gants. • L’AIMANT Il existe plusieurs sorte d’aimants mais en détection, on s’intéressera aux plus puissants les aimants néodymes. Chaque aimant résiste à une force différente 50, 80, 100, 150…. Comme Greg de la chaine Tous à Poêle, on évitera tous les aimants d’une force inférieure à 80 kilos vous risqueriez de ne pas parvenir à remonter les masses ferreuses les plus importantes. Mieux, disposer de plusieurs aimant de forces variées. Idéalement, pour votre premier aimant visez directement une force de traction élevée 120, 150 kilos…. Attention toutefois, plus votre aimant sera puissant, plus il accrochera les masses ferreuses les plus importantes. Vous n’aurez pas forcément les bras pour remonter une machine à laver perdu au fond d’une rivière et devrez dire adieu à votre aimant ! Par conséquent, ne visez ni trop bas, ni trop haut ! On préférera également les aimants avec une large surface plane afin de bénéficier d’une couverture d’attache plus importante que sur les aimants de type cylindrique qui eux sont dotés de petite surface d’attache gros risque de perte de la trouvaille si elle importante !. Une large surface aimantée favorisera l’accroche et facilitera la remontée ou le débloquage de l’objet ferreux. Enfin, il est indispensable que votre aimant dispose d’une boucle suffisamment large pour faire passer la corde qui permettra sa remontée. Vous en trouverez facilement en boutique de détection, comme cet aimant néodyme de force 150 kilos parfaitement adapté à la pratique de la pêche à l’aimant. • LA CORDE Qui dit pêche dit fil … ou plutôt corde en ce qui nous concerne ! Vous pouvez optez pour n’importe quel type de corde du moment qu’elle est suffisamment résistante, longue et suffisamment bien conçue pour être plongée dans l’eau. Vous pouvez même opter pour une corde sensiblement élastique, ce qui vous permettra d’avoir toujours un peu de jeu lors de la traction. On vous conseille une longueur de 15 à 30 mètres selon votre usage. À noter une longue corde vous permettra de couper quelques bouts de celle-ci lorsqu’une extrémité est usée sans pour autant qu’elle devienne trop petite ! Vous pourrez donc trouver la corde de votre choix dans un magasin de bricolage ou tout simplement dans votre boutique de détection ex corde de 20 mètres pour la pêche à l’aimant • LES GANTS Aussi simple que cela puisse paraitre, une bonne paire de gants pour le bricolage vous sera d’une aide précieuse si vous ne souhaitez pas avoir mal aux mains lors des frottement avec la corde. Sans oublier la difficile remontée de certains objets ou les risques de coupures avec les trouvailles rouillées, ne négligez pas ce point. Vous ne le regretterez pas le jour de votre première pêche à l’aimant ! Il existe également des kits complets pour démarrer avec tout le nécessaire, à retrouver ICI ou en boutique de détection. BIEN MAINTENIR SON AIMANT Quand vous aurez votre aimant et votre corde, il vous faudra lier le tout par un noeud bien fait et résistant. Là encore, tournons-nous vers Greg qui vous recommande et vous explique en vidéo comment pratiquer le noeud de 8 autour d’une boucle ce noeud à l’avantage d’être très solide, résistant et de bien répartir la charge. La boucle quant à elle vous permettra de détacher facilement votre aimant ! OÙ PÊCHER À L’AIMANT ? Une fois que vous serez prêt, ce ne sont pas les zones humides qui manqueront ! Regardez bien autour de vous il y a forcément près de vous soit une rivière, un canal, un lac ou encore des puits, des vieux lavoirs, des écluses ou même un port… Comme en détection, soyez observateur et repérez les lieux d’activités, là où il y eu du passage ou là où il y en a encore tout simplement. • Les RIVIÈRES et les CANAUX sont les spots les plus fréquentés pour pêcher à l’aimant ! Si vous apercevez un pont, concentrez-vous autour de lui c’est un lieu de passage important et l’endroit idéal pour se débarrasser d’un encombrant ou d’un objet gênant … il n’est pas rare de sortir de l’eau des outils ou des armes. • Les lacs, étangs et mares sont d’excellents lieux pour pêcher à l’aimant. Si certains d’entre eux sont parfois entretenus et nettoyés de temps en temps, la plupart restent insondés et leurs vastes étendues bien trop importantes pour avoir été dévalisés de tout objet métallique ! N’hésitez pas à vous renseigner afin de connaitre l’ancienneté du point d’eau, cela vous permettra de favoriser des lieux potentiellement plus fructueux que d’autres. • Le puit reste bien-sûr l’un des lieux de pêche à l’aimant les plus courus. La particularité de ce lieu réside dans les trouvailles que l’on y fait on ne laisse rien dans un puit par hasard. Aussi, vous avez de fortes chances de retrouver des objets très spéciaux volontairement cachés au fond du point munitions, armes, des objets moins dangereux que certains auront voulu cacher boite métalliques avec objets familiaux ou encore des monnaies, sans doute jetées elles aussi volontairement en guise de voeu voir pour cacher un trésor si vous avez beaucoup de chance ! Quoi qu’il en soit, la pêche à l’aimant dans un puit nécessite un peu plus de prudence qu’ailleurs en raison du risque de sortir des objets anciens de type explosif. TECHNIQUES DE PÊCHE À L’AIMANT En fonction du lieu de pêche à l’aimant, votre manière d’opérer peut varier. Cependant on distingue principalement deux technique Pêche à l’aimant statique Le principe il s’agit de jeter l’aimant le plus loin possible du lieu où vous vous situez et de tirer la corde pas trop vite, afin de ramener l’aimant vers vous. Le risque l’aimant peut se coincer dans une branche ou une pierre Pêche à l’aimant en mouvement Le principe se déplacer au bord de l’eau une fois l’aimant jeté afin de laisser trainer l’aimant et ramasser tout ce qu’il attire sur son passage Le risque là encore, contrairement à la pêche à l’aimant dans un puit, le risque est de bloquer son aimant au fond de l’eau en raison d’une branche ou d’une pierre qui gênerait le passage. ASTUCES ET CONSEILS PRATIQUES POUR LA PÊCHE À L’AIMANT La pêche à l’aimant ne nécessite pas une grande expérience, mais quelques bonnes pratiques vous rendront ce loisir plus agréable • PECHEZ A L’AIMANT EN RESPECTANT LES PASSANTS Cela va de soi, comme en détection, soyez attentifs au personnes pouvant se baigner dans le lac que vous prospectez. N’utilisez pas votre corde comme un lasso et veillez à respecter une bonne distance avec les personnes pouvant se trouver à proximité. Un aimant, ça peut faire mal. Bien-sûr, on repart avec ses déchets et on les jette à l’endroit prévu à cet effet ou mieux, dans une déchetterie. Pensez aussi au ferrailleur si votre trouvaille est massive. • CONSERVEZ VOTRE CORDE ENROULEZ Si vous ne souhaitez pas avoir de mauvaise surprise, pensez à enrouler votre corde sur elle-même après votre sortie pour éviter les nœuds. Avant de lancer votre corde à l’eau, déroulez-là avec soin sur le sol afin de la rendre utilisable sur toute sa longueur au moment du lancer. • FIXEZ VOTRE CORDE AVANT DE LANCER VOTRE AIMANT Dernière étape avant de lancer votre aimant, enroulez-là autour d’un point fixe un arbre, un poteau fermement planté dans le sol… cela évitera de perdre votre corde en cas d’imprudence ! Vous pouvez notamment fixer l’une des extrémité de votre corde à un mousqueton pour faciliter l’attache. • PRÉCAUTION D’USAGE DE VOTRE AIMANT Avant et après toute sortie, veillez à ne pas laisser votre aimant à proximité d’appareils électroniques téléphone portable, détecteur, ordinateur … sans quoi vous pourriez nuire considérablement à leur fonctionnement ! Vous pouvez isoler votre aimant après chaque sortie en le rangeant dans une boite prévue à cet effet. LA REGLEMENTATION RELATIVE A LA PECHE A L’AIMANT Certes, la pratique de la pêche à l’aimant est très largement tolérée, notamment parce qu’elle contribue fortement à la dépollution de nos points d’eau tristement saccagés de déchets métalliques et pas seulement!. Néanmoins, il convient comme pour toute sortie détection, de respecter quelques usages ainsi que la loi sur la propriété privée et à la protection du patrimoine historique. Nul ne peut utiliser du matériel permettant la détection d’objets métalliques, à l’effet de recherches de monuments et d’objets pouvant intéresser la préhistoire, l’histoire, l’art ou l’archéologie, sans avoir, au préalable, obtenu une autorisation administrative délivrée en fonction de la qualification du demandeur ainsi que de la nature et des modalités de la recherche. » Article L542-1 du Code du Patrimoine reprenant la loi 89-900. La pêche à l’aimant dans un lieu public Il est logiquement recommandé de demander une autorisation auprès de la mairie. Cependant, il est rare que cela soit nécessaire, tant la pêche à l’aimant bénéficie d’un regard très positif, puisque la dépollution contribue au bien être de tous. La pêche à l’aimant dans un lieu privé Il va de soi que l’autorisation du propriétaire du lieu est obligatoire, qu’il s’agisse d’un particulier, d’une entreprise, etc… Comme en détection, veillez à laisser le lieu dans le même état que celui où vous l’avez trouvé et emporter avec vous les déchets mis à jour sans exception. BIEN ACHETER SON AIMANT NEODYME SPECIAL PECHE A L’AIMANT» La pratique de la pêche à l’aimant nécessite un minimum d’équipement indispensable afin d’être sûr d’extraire de l’eau des cibles métallique ferreuse en toute sécurité. Pas facile de faire un choix tant il existe différents prix et différentes qualités sur le marché. Voici les bons conseils qui vous permettons d’éviter les pièges à l’achat Acheter votre aimant chez un spécialiste Une enseigne spécialisée dans la pêche à l’aimant dispose de matériels fiables et adéquats. C’est le bon moyen d’être sûr de ne pas regretter par la suite son achat. Evitez les sites internet généralistes opportuniste qui vous proposerons des aimants de moins bonnes qualités moins efficaces en pratique. La Maison de la détection est à ce jour l’enseigne spécialisée dans la pêche à l’aimant, n°1 en France Acheter un aimant Néodyme et non pas un aimant en Ferrite Les aimants en Néodymes sont les plus puissants du marché et dispose d’une force d’adhérence qui est incomparable avec les aimants Néodymes. Privilégier les marques spécialisées dans la pêche à l’aimant Magnétar est à ce jour le fabricant référence dans l’univers de la pêche à l’aimant. Il dispose d’une gamme complète pour toute la famille et tous les budgets avec une qualité de fabrication et une puissance d’adhérence inégalée. En choisissant Magnetar vous êtes sur d’avoir du matériel de qualité ! Pour conclure, on vous propose de faire le point en vidéo à travers ce guide de la Pêche à l’aimant enregistré par Greg de la chaîne Tous a Poêle Pêche Mouche 10 novembre 2004Les bas de lignes à noeuds pour la pêche de la truite en rivière Tout pêcheur est un jour ou l’autre confronté à la conception des bas de lignes bdl à nœuds. En général, cette confrontation intervient lorsque l’on a en partie assimilé le lancé, la pêche et la fabrication des mouches. Avant d’en arriver là, on achète des bdls du commerce qui coûtent malgré tout assez cher ou bien on utilise des blds à nœuds fournis par une connaissance. C’est en tout cas mon expérience. En général, je me suis toujours trouvé à un moment ou un autre aux limites des mes bdls suivant les conditions de pêche et je les modifiais avec plus ou moins de succès. Quand j’ai décidé de faire mes propres bdls, j’ai acheté des bobines de nylon de différents diamètres suivant les recommandations de mon entourage et j’ai commencé à reproduire des bdls trouvés dans la littérature halieutique sans vraiment comprendre ce que je faisais. Plus tard, j’ai essayé de mieux comprendre la conception de ces foutus bdls. Je me suis alors confronté à un vide dans la littérature française et je ne savais pas par où commencer. Fichiers associés à l’article L’article en PDF Fichier excel 1 profils avec pointe Fichier excel 2 profils sans pointe NB les fichiers excel sont fournis à titre d’information. Ils n’ont pas été élaborés dans le but d’être un logiciel à part entière. Leur utilisation nécessite donc des connaissances de base en tableur informatique et aucune macro a été incorporée. L’auteur ne tient pas à être submergé de question à leur sujet. Merci d’avance. Introduction Cela fait maintenant plusieurs années que je lis et discute avec les pêcheurs de mon entourage sur le sujet. J’en ai conçu une petite synthèse que je propose dans cet article sur la construction des bdls à nœuds pour la pêche de la truite en rivières soit en sèches soit en nymphe à vue. Ma principale référence est l’article de Steven B. Schweitzer Hyper-Compleat Principles of Leader Design » disponible sur le net paru en Septembre 2002. Ceux qui lisent l’anglais pourront voir que cet article n’est pas directement transposable en France à cause de la différence de la réalité halieutique entre les US et notre pays. Par exemple, il est écrit qu’un bdl de 9 feet avec une pointe de 4X ou 5X est le bas de ligne standard pour la pêche à la truite en rivière. Loin des standards français ! Par contre, c’est la description de la problématique de la construction des bdls de cet article qui m’a permis de progresser. Steven B. Schweitzer rappelle que le but d’un bdl est de relier d’une manière la plus invisible possible la mouche à la soie. Il doit aider à une présentation propre, laisser la mouche évoluer de la façon la plus naturelle possible et transférer et dissiper l’énergie cinétique de la soie lancée vers la mouche. Pour une situation de pêche donnée type et taille de mouche, type et distance du poste prospecté, vent chacun cherche à présenter la mouche de la même manière malgré des équipements cannes, soies et des aptitudes au lancer différents. Par conséquent, il est évident qu’un bdl élaboré par un pécheur, ne vas pas réagir de la même façon avec un autre pécheur et qu’il n’y a pas de bdl universel à tout le monde et à toutes les situations de pêche. La difficulté est alors pour un pêcheur de savoir comment construire ses bas de ligne et quand les utiliser ou les modifier. La principale difficulté pour élaborer un bdl provient du fait qu’il dépend d’une multitude de paramètres Du pécheur. En particulier son aptitude au lancer, à la vitesse de soie qu’il est capable de générer à partir de son équipement. De la canne utilisée en particulier sa rapidité. De la distance de pêche. De la soie en particulier de sa souplesse, de son profil et du diamètre de son extrémité. Des caractéristiques du nylon utilisé, en particulier sa rigidité sa flottaison et sa résistance à l’abrasion, voir la combinaison de nylons différents. De la mouche utilisée, en particulier son profil araignée, émergente, nymphe et bien sûr de sa taille. Du type de pêche pratiquée. En particulier le type de rivière taille et rapidité et de la pêche souhaitée sèche, nymphe à vue. Je me suis rendu compte que les descriptions des bdls que l’on peut trouver à droite et à gauche ne sont pas complètes. On devrait fournir avec les bdls, le type de pêche envisagée, le type de canne, la soie et les nylons utilisés. Reconnaissons que certains articles donnent ces informations, ce qui m’a conforté dans mon point de vue. Par exemple, Philippe Boisson dans le Pêches Sportives numéro 42 ajoute à la description classique de son bas de ligne Long et sans concessions, destiné à la pêche à la nymphe à vue, ce bas de ligne ne convient pas à tous les équipements». Il décrit par la suite l’équipement utilisé et leur transformation en particulier au niveau de la soie. Comme le souligne Steven B. Schweitzer, la conception d’un bdl ressemble à l’assemblage d’un puzzle ; il existe plusieurs manières de l’assembler, seul le résultat compte. Dans cet article, je communique la manière dont j’assemble mon puzzle en m’appuyant sur une représentation graphique du profil du bdl. Cette démarche n’est évidemment pas unique. Composition d’un bas de ligne Un bdl est composé de trois parties principales. Le talon, la section moyenne et la pointe. Ces trois parties sont constituées à partir de nylons de différents diamètres excepté la pointe qui est le plus souvent faite avec un monofilament. Charles Ritz préconise une proportion de 60% pour le talon, 20% pour la section moyenne et 20% pour la pointe. Cette proportion est le stéréotype du bdl dégressif. On verra plus tard que la décomposition proposée n’est plus réellement valide pour les bdls progressifs et leurs variantes petites rivières. Raccord soie–bas de ligne Le but du raccord soie-bdl est de transférer l’énergie cinétique de la soie vers le bdl afin qu’il se déploie. Et cette transmission est d’autant meilleure que la rigidité du talon est identique à celle de la soie. Le but est d’obtenir une boucle parfaite lors de ce raccord voir photo 1. Ce raccord est fonction du type de liaison envisagée voir article sur le site et de la rigidité du talon. La rigidité du talon dépend de deux paramètres son diamètre et la rigidité intrinsèque du nylon utilisé. On peut fixer le diamètre du nylon grâce au diamètre de l’extrémité de la soie. On prend en général la règle du 2/3 ou du 3/4 soit 66% à 75 % du diamètre de la soie. Liaison soie bas de ligne Le diamètre fixé, on peut choisir la nature du nylon. Si le nylon est trop rigide, on peut le faire cuire et l’étirer à chaud à sa convenance. Attention car certains nylons supportent mal la cuisson ! L’idéal étant d’acheter le bon nylon pour sa soie. Mais si, pour d’autres pêches, on utilise des soies très différentes cela amène à avoir un stock important de matériel. Pour avoir des informations sur la rigidité intrinsèque des différents nylons lisez ou l’article de Philippe Boisson dans le Pêches Sportives numéro 53. En plus de la rigidité, il faut tenir compte de la mémoire du nylon ainsi que sa résistance à l’abrasion. Cette dernière est pour moi secondaire pour la pêche à la truite sèche et en nymphe à vue sauf pour des gros poissons de plus en plus rares. Un autre critère est la flottaison du nylon. Certains sont connus pour la capacité à plonger utile pour la pêche à la nymphe à vue et d’autres à flotter utile pour la pêche sèches et aussi lors d’utilisation de soie naturelle qui ont tendance en fin de journée à pointer du nez. Profil du bas de ligne Après avoir choisi le premier élément du talon, il faut maintenant décider quel type de bas de ligne prendre. Il existe deux grandes familles de bdl, les progressifs et les dégressifs. Nicolas Pariset définit les bdls dégressifs comme Ce sont des bas de lignes construits en brins de monofilaments de diamètres décroissant attachés les uns aux autres. La longueur des brins des bas de ligne dégressifs diminue avec le diamètre sauf la pointe qui est toujours le brin le plus fin et le plus long » et les bdls progressifs comme Ce sont des bas de lignes construits en brins de monofilaments de diamètres décroissant attachés les uns aux autres. La longueur des brins des bas de ligne dégressifs augmente quand le diamètre diminue. La pointe reste le brin le plus fin et le plus long. » Pour ma part, j’ai eu besoin d’une représentation graphique de ces profils. Celle que j’utilise maintenant provient du monde du bambou refendu où les profils des cannes diamètres de la section tout les 5 inches sont représentées en longueur cumulée. La figure suivante représente la section de bambou en fonction de la distance entre l’endroit de mesure et le bout du scion pour cinq cannes de 7’6’’ soie de 4. On s’aperçoit que le diamètre de la canne augmente et on peut s’apercevoir des légères différences. Figure 1 profils de cannes en bambou de 7 pieds 6 soie de 4 Quand on applique cette représentation graphique aux bdls, on obtient par exemple pour le bas de ligne de Ritz numéro 3 la courbe rouge en S sur la figure 2. Figure 2 Formules du bas de ligne Ritz numéro 3, longueur cumulée et longueur cumulée normalisée et représentation graphique J’ai préféré partir du talon pour la longueur et représenter le diamètre en sens inverse. Sur la figure 2, j’ai aussi représenté un des bdls de Nicolas Pariset de presque 6 mètres de long. On voit tout de suite que cette représentation n’est pas satisfaisante pour des bdls de tailles différentes. Afin de m’affranchir de cela, j’ai normalisé ou divisé la longueur cumulée par la longueur totale du bdl. Cette opération donnant directement les proportions des différentes parties qui forment un bdl le talon, la section moyenne et la pointe. Figure 3 Profils normalisée d’un bdl progressif et d’un bdf dégressif. A gauche avec pointe à droite sans pointe On s’aperçoit sur la figure 3 gauche que le bas de ligne Ritz respecte assez bien la proportion 60/20/20. Tandis que le bas de ligne de Nicolas Pariset ne présente pas de caractéristique très marquée, il y a une progression progressive du diamètre en fonction de la longueur cumulée. La rupture de pente très présente sur le bdl de Ritz est pour moi une des caractéristiques des bas de lignes dégressifs tandis que l’absence de rupture est une des caractéristiques des bas de lignes progressifs. Pendant la rédaction de l’article, Nicolas Pariset m’a suggéré d’enlever la pointe lors de mes représentations. L’idée sous-jacente est que c’est le talon et la section moyenne qui donnent les caractéristiques aux bdls. Ce sont ces deux parties qui transmettent l’énergie cinétique à la pointe. La fin de la section moyenne ainsi que la pointe dissipent cette énergie cinétique pour permettre le posé souhaité. Cette pointe est construite à partir de nylon en général souple soit d’une seule pièce soit avec une pré-pointe. Dans la représentation à droite, la pointe a été enlevée et ne permet pas d’obtenir des nouvelles informations sur ces deux bdls tellement différents. Cela ne sera pas le cas sur les autres bas de ligne que j’analyse de cette manière plus loin. Longueur du BDL La troisième question qu’un pêcheur se pose est la longueur du bdl. Vaste question qui dépends de plusieurs paramètres. En premier, il faut tenir compte de la pêche envisagée si c’est en grande ou en petite rivière, en général il est accepté pour les grandes rivières, des bdls de 5 à 6 m voir plus, suivant la capacité du pêcheur à étaler ces bdls et pour les petites rivières, des bdls de 3 à 4 m. La pêche en nymphe à vue nécessite la plus part du temps des bdls plus longs à cause de la longueur de la dérive entre le point d’impact et le poisson. Cette longueur est plus grande qu’en sèche, pour des raisons de discrétion, d’immersion et de dérive inerte de la nymphe. Deuxièmement, les longueurs des bdls sont à modifier suivant le type et la taille de la soie utilisée. Pour les soies naturelles, ces longueurs sont à réduire à cause du faible diamètres de leurs extrémités les soies Thebault sont vraiment très fines et leurs signatures » sur l’eau qui sont plus faibles que celles de soies synthétiques. Pour un type de soie donnée naturelle ou synthétique, les longueurs du bdls sont à augmenter si la soie est plus grosse. Une soie de 5 contient plus d’énergie cinétique qu’une soie de 3 à même vitesse de soie et a aussi une signature » plus grande. Je pense qu’il vaut mieux utiliser un bdl de 5 m, par ex qu’on étale bien plutôt qu’un bdl plus long de 6m, par ex qu’on étale mal. On ne gagne qu’à s’énerver et à mal pêcher. Je pense aussi qu’il faut choisir une longueur de bdl adaptée à nos capacités à lancer. J’ai rencontré un pêcheur qui doit nécessairement faire une traction augmentation de la vitesse de la soie pour étaler son bdl dans des conditions normales. Je ne sais pas ce qu’il fera le jour où le vent sera de la partie ou qu’il devra prendre une mouche plus étoffée. Je crois qu’il faut choisir sa longueur à partir de ses capacités à lancer moyenne » et se laisser de la marge. Influence du type de cannes Le type de canne utilisé est un paramètre à prendre en compte. Si c’est une action rapide, les grands bas de lignes progressifs, qui sont lents, sont à utiliser. Par contre si c’est une action lente, il vaut mieux utiliser des bas de lignes dégressifs qui sont en général rapides. En fait, l’action du bdl est à l’opposé de l’action de la canne. Puisqu’on souhaite tous effectuer le même poser par exemple un poser délicat en sèche avec des équipements différents, c’est aux bdls de compenser, en partie, ces différences. Variation du diamètre des BDL Pour la variation du diamètre, on admet en général des diminutions de 5 à 10/100 entre les brins du bdl. On peut trouver des exemples de bdl où la diminution de diamètre peut aller jusqu’à 33% soit une suite 50-33-22-15-10 [Steven B. Schweitzer]. Je n’ai pas moi-même expérimenté ces différentes variations Combinaison de différents types de nylon Un bdl n’est pas généralement construit avec un nylon unique. En général, le talon et une partie de la section moyenne sont faites avec un nylon plus ou moins rigide et l’autre partie de la section-moyenne et la pointe avec un nylon plus souple. Symptômes d’un mauvais » bas de ligne D’après Steven B. Schweitzer Votre bdl ne se déroule pas du tout c’est peut être dû à un talon trop souple ou une partie moyenne trop rigide ou trop grosse. Votre bdl se déroule bien du moins en partie section moyenne trop lente pour la mouche considérée. Réduire la section moyenne en augmentant le talon. Votre bdl tape l’eau le bdl est trop rapide. Quelques bas de lignes J’ai analysé plusieurs bdls que j’ai trouvés dans la littérature avec la représentation graphique proposée plus haut. Je n’ai pas testé tous ces bdls sous leur forme originale. Je les modifie car je n’utilise pas un équipement standard ; je pêche en soie naturelle avec un bambou refendu progressif rapide. J’utilise un bdl de 4,5 m de long avec un talon en 40/100 pour les grandes rivières calqué sur bdl progressif décrit plus bas et je bidouille en général la partie moyenne pour les petites rivières. Progressifs Figure 4 Profils normalisés de bdls progressifs. A gauche avec pointe à droite sans pointe La figure 4 présente plusieurs bdls progressifs de longueur de 5 à 6 m. Sur la figure sans pointe, on peut s’apercevoir que ces bdls sont tous très voisins. La principale différence provient au niveau du brin le plus gros pour le Pêches Sportives Grande Rivière 1 qui est le plus long amenant à une pente légèrement plus importante. Il faut noter ici que le bdl de Nicolas Pariset utilise une pré-pointe en 14/100. Dégressifs Figure 5 Profils normalisés de bdls dégressifs. A gauche avec pointe à droite sans pointe Les bdls dégressifs modernes ont une pente beaucoup plus importante que les bdls progressifs. Il en suit que le talon est beaucoup plus long. Il existe une plus grande variété dans cette catégorie de bdl que pour les progréssifs. Les bdls Cognard ont une rupture de pente assez marquée pour le brin en 25/100 qui fait 10 cm standard et 15 cm nymphe. J’ai déjà essayé le standard et j’en ai été assez satisfait Winston IM6 soie de 5 avec une Mastery 5. Le Nicolas Pariset présente lui aussi une rupture de pente mais dans le sens inverse. Petites Rivières Figure 6 Profils normalisés de bdls Petites Rivières A gauche avec pointe à droite sans pointe Ces bdls sont faits pour être rapides et très précis. Ils sont, pour ma part, une variante des bdls progressives. Je pense qu’ils ont été élaborés par des pêcheurs utilisant du matériel rapide avec lequel des bdls dégressifs ne devaient pas donner des bons résultats. Profils américains Figure 7 Profils normalisés de bdls Américain A gauche avec pointe à droite sans pointe On peut dire que les américains utilisent principalement des bdls dégressifs très marqués Ritz. N’ayant pas des poissons hyper-selectifs, ils n’ont pas à se tracasser la tête. D’ailleurs, dans certaines rivières américaines comme Hat-Creek, Silver Creek et Henry Fork’s entre autres qui nécessitent des bas de ligne assez discrets, certains pêcheurs américains rencontrent des grosses difficultés. Conclusion Le choix ou la conception d’un bdl dépend d’une multitude de paramètres. J’espère que cet article vous aidera à concevoir vos propres bdls en profitant de l’expérience des autres mais en sachant où et comment les modifier. J’espère aussi que la représentation graphique vous permettra de visualiser l’action des bdls que vous utilisez et pourquoi pas devenir le standard de visualisation sur Gobages. Relâchez et Protégez vos rêves !!! Formules des bas de lignes présentés Auteur Benoît Bédat BB64

appareil pour faire les noeuds de peche